L’aventure des graffitis n’en finit pas.
Grâce au site http://www.graffiticreator.net/, les clubbers du TSC ont pu réaliser des graffittis avec des styles différents sur ordinateur.
Tous ces différents graffittis les sont inspirés et ils ont essayé de créer un autre syle de graffitis sur papier.
Voici le résultat.
Cette journée, les enfants du TSC ont écrit leur nom en peinture… Grattage, effets avec l’eau… Des artistes les ont inspiré comme Miro ou bien Fernand Léger. Et ils ont créé une œuvre collective. Une autre manière d’aborder le graffiti.
Voici donc les photos…
Aujourd’hui, nous avons fait du light painting. Nous étions dans une salle noire, et avec des lampes de poches et des portables, nous dessinions des formes, des lettres, des visages et Renaud prenait en photographie nos créations lumineuses. Nous avons testé des formes et il fallait écrire les lettres à l’envers pour que la lettre apparaisse bien en photographie. Il fallait être rapide et minutieux. Nous avions entre 5 secondes et 20 secondes pour faire une œuvre lumineuse. Voici donc le résultat.
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Le light painting, ou lightgraff (littéralement « peinture de lumière » en français) est une technique de prise de vue photographique. Elle consiste à utiliser un temps d’exposition long dans un environnement sombre, en y déplaçant une source de lumière ou en bougeant l’appareil photo. La photographie obtenue révèle alors toutes les traces lumineuses dues soit à l’exposition directe du capteur à la source lumineuse, soit aux objets éclairés. (www.wikipedia.fr)
Aujourd’hui, ce mercredi 24 mars, nous avons travaillé sur Nicolas Schöffer avec les Varetras qui sont des boîtes lumineuses et nous avons créé des unitras, des plaques que l’on peut glisser dedans et les formes s’animent car la boîte peut clignoter en lumière. Nous avons dessiné et collé des formes.
Ensuite nous avons tapé notre prénom sur une machine perforatrice qui date des années 50 et une carte perforée est sortie et nous l’avons mis dans une autre vieille machine qui a imprimé en lettres en haut de la carte .
C’était chouette.
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Le modèle Varetra a été créé en 1975 par Nicolas Schöffer. C’est une boîte lumineuse en plastique, plexiglas et éléments métalliques, système électrique.
On peut y glisser des plaquettes Unitra en plexiglass qui s’insèrent jusqu’à trois simultanément dans le boîtier créant des images différentes selon les combinaisons.
Nicolas Schöffer (1912-1992) est un sculpteur et plasticien français d’origine hongroise. Il fut le créateur de l’art cybernétique, appelé aujourd’hui art interactif, forme d’art dynamique qui réagit à son public et/ou à son environnement.
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La mécanographie regroupe un ensemble de techniques mécaniques permettant le calcul, le traitement et la publication de l’information. Elle s’est développée de la fin du XIXème siècle jusqu’au milieu des années 1960. Puis c’est l’ordinateur qui a remplacé ces machines au fur et à mesure. La mécanographie avait pour but la réalisation de travaux de comptabilité, de gestion, de statistiques, en utilisant, comme support d’entrée des données, des cartes perforées saisies sur clavier électromécanique.
La Tour Lumière Cybernétique (maquette) – Nicolas Schöffer
Pour cette journée du 10 mars nous avons visité l’exposition « Demandez le programme » et nous avons découvert les artistes suivants : Kammerer-Luka et Jean-Baptiste Kempf (Groupe Art et Ordinateur de Belfort), Nicolas Schöffer, Raffael Lozano Hemmer, Antoine Schmitt, et un film Flocking (œuvre collective représentée par Masa Busic, Irene Giardina, Herwig Hoffmann, Johanna Hoth, Giuseppe Ielasi, Samuel Korn, Armin Linke, Renato Rinaldi, Marc Teuscher). Nous avons eu un questionnaire où nous devions dessiner et répondre aux questions.
C’est une exposition sur l’art et l’ordinateur : des premiers artistes qui utilisaient l’ordinateur et le programme pour créer des œuvres d’art à aujourd’hui. On voit que les nouvelles technologies avancent très vite et que ces artistes aimaient beaucoup les formes et la lumière.
Programme Icare – 1977 – Groupe Art et Ordinateur de Belfort
Aujourd’hui, nous avons découvert un artiste qui s’appelle Banksy et qui fait des graffiti avec des pochoirs. Ensuite nous avons vu des vidéos où Banksy graffait sur un mur en Palestine. Nous avons aussi vu qu’il a piraté 500 pochettes de cd ainsi que la musique de Paris Hilton qu’il a distribué dans 40 magasins en Angleterre.
Nous avons fait des graffitis avec des pochoirs.
… ça nous a plu.
Les graffiti existent depuis très longtemps et pouvaient être de simples marques de griffures à des peintures de murs élaborées. Dans les temps modernes, la peinture aérosol (bombes) et les marqueurs sont devenus les outils les plus utilisés. Parfois, le graffiti est employé pour communiquer un message politique et social. Il existe de nombreux caractères et styles de graffiti ; cette forme d’art évolue rapidement.
Attention, dans la plupart des pays, dégrader une propriété avec un graffiti sans le consentement de son propriétaire est considéré comme du vandalisme punissable par la loi.
Ce mercredi 24 mars, le groupe du Teenage Space Club a regardé quelques extraits du film Writers – 20 ans de graffiti à Paris – 1983-2003 de Marc Aurèle Vecchione (Resistance films). Ce film montre un aperçu de grands graffeurs qui étaient jeunes à l’époque comme Bando, Mode 2, Jay, Lokiss. Ces jeunes artistes se sont inspirés du phénomène new-yorkais. Avant les années 80, il y avait peu de graffitis à Paris et des groupes de graffeurs se sont créés et ont développé leur propre style. On les appelle les writers.
Après avoir discuté autour du film, chacun a créé son propre graff avec son style en écrivant leur prénom avec crayons et feutres. Voici donc les créations de chacun.
